Un stress mêlé d’excitation m’anime. Je viens de finir Soufi, mon amour, d’Elif Shafak. Il y a tellement à dire de ce roman aux multiples voi(x)es que j’ai peur d’en trahir l’essence, de n’en garder que des futilités. Ce serait là le moindre préjudice que je pourrais porter à ce merveilleux roman d’amour, qui, si loin de n’être que cela, représente peut-être tout autant le roman d’Amour dans son excellence, dans sa complétude et dans son absolu. Au pays de : « Après quarante